La libération de mon beau-père, le Rabbi, de son emprisonnement dans les prisons soviétiques en 5687 (1927) se fit par étapes : tout d’abord, le jour du trois Tamouz, sa condamnation à « l’inverse de la vie », que D.ieu nous en préserve, fut commuée en une peine de trois ans d’exil dans la ville de Kastrama. Puis, le 12 Tamouz, on lui annonça sa libération totale qui se fit concrètement le lendemain, c’est-à-dire le 13 Tamouz.
En ce jour du trois Tamouz eut lieu, il y a de très nombreuses générations, un autre miracle : lors de la bataille que Yéhochoua livra contre les Émoréens, le soleil allait se coucher alors que la victoire n’était pas 3 encore acquise. Voyant que la nuit donnerait à l’ennemi la possibilité de fuir, Yéhochoua implora « דום בגבעון שמש – Soleil, arrête-toi sur Guiveon !... », « השמש וידם – Et le soleil s’arrêta… » (Josué 10, 12-13), ce qui permit aux Enfants d’Israël de gagner la bataille
Lors de la plaie du sang, le miracle ne consista pas à ce que l’eau se transmute en sang, mais que l’eau, tout en restant de l’eau, soit provisoirement perçue à tous égards comme du sang. L’eau ne changea pas de nature pour devenir du sang, elle ne fit qu’en prendre la « forme ». De sorte que, lorsque le moment vint que la plaie cessa, il ne fut pas nécessaire d’opérer un nouveau miracle pour que le sang redevienne de l’eau, mais seulement de cesser le miracle qui, se superposant à la nature de l’eau, la maintenait sous forme de sang.
Dans la paracha de Kora’h, que nous lisons cette semaine, il est fait mention d’un autre miracle dont le déroulement est parfaitement décrit : suite à la contestation de la prêtrise par Kora’h et les siens, D.ieu demanda à Moché de recevoir un bâton de chacune des tribus, « Et le bâton de l’homme que J’aurai élu, fleurira » (Nombres 17, 18-20). Ainsi procéda-t-on, puis le lendemain « …voici qu’avait fleuri le bâton d’Aharon pour la tribu de Lévi : des fleurs y avaient éclos, des bourgeons (de fruits) en étaient sortis et des amandes y avaient mûri » (Nombres 17, 23).
On voit que dans tout c’est miracle reste naturel et pas surnaturel
La réponse à cela s’est qu’Hashem quand il fait ça reste naturel il ne fait jamais du surnaturel
Donc nous comprenons maintenant pour nous l’exile nous somme dans cette situation car Hashem fait comme ça il nous fait sortir mais par les voie naturel donc c'est sûr et certain que très bientôt Hashem va nous sortir très vite de cette exil pour la Gueoula Hamitite Vehashelema